Hier, vendredi 23 avril, une policière a été égorgée par un ressortissant tunisien à l’entrée du commissariat de Rambouillet, une commune française se trouvant pas loin de Paris, rapporte plusieurs médias français.
L’homme qui a perpétré le meurtre a été abattu sur place par les tirs d’un autre policier. Selon des témoins le Tunisien a crié « Allah Akbar », le Parquet antiterroriste s’est saisi de l’affaire pour « assassinat sur une personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste ».
Le ressortissant tunisien était arrivé en France en 2009, le parquet antiterroriste indique qu’il « avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021 ».
La victime de cet attentat était une fonctionnaire de police non armée, qui revenait se sa pause dîner, elle travaillait dans le commissariat de Rambouillet depuis 28 ans, et était mère de deux filles.
Le Premier ministre français Jean Castex a dénoncé sur Twitter « un geste barbare et d’une infinie lâcheté ».